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Tremblantes dans le dos,
Leurs secousses brisent,
Le cœur et son tempo,
Et le corps est en crise.
Le vent se retire
Accompagnant le jour,
Emportant leurs soupirs
Sans penser au retour.
Quittées par leur amant,
Ces deux innocentes
Cessent leurs mouvements,
En sont-t-elles conscientes ?
Le cœur reprend le chant
Mais le corps reste froid :
« Je ne suis plus vivant
Si mes ailes restent coi »
Tremblantes dans mon dos,
Leurs secousses brisent,
Mon cœur et son tempo,
Et mon corps est en crise.
Enchaînée à ce sol,
Je ne peux m’envoler.
Enchaînée à leur sol,
Je ne peux plus respirer.
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Commentaires
1pharaon57Dimanche 29 Août 2010 à 10:09c'est très beau , la zic tres cool, reposant ,poéme accrocheurRépondre3denis86Dimanche 20 Février 2011 à 17:11jolie poème , je passerais de temps en temps pour me délecter de tes beaux écrit!!!
amicalement Denis !!!Merci Denis :) reviens quand tu veux, j'espère pouvoir écrire de nouvelles choses d'ici peu.Très beau poème ;) dommage qu'il soit si mélancolique, comme m'avait dit quelqu'un une fois :p ça ne retire rien à sa beauté ^^La mélancolie tu connais ça je crois ;)...c'est peut-être même pour ça, que tu le trouve beau ce poème :)...merci pour ce pti com missDe rien Darling :p oui Mélancolie je connais, et comme toi j'aime ça, mais pas quand c'est sur toi ^^ un sourire te vas mieux ^^
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